26 avr. 2013
25 avr. 2013
15 avr. 2013
1 avr. 2013
Do you remember the sad days of Spring ? I do.
Stranded Horse et JBM,
Pour le folk du premier, venu d'un autre temps, limpide. J'aime le voir jouer, tu sens que le mec y met tout son cœur, surtout quand il arpège sur sa Kora, il est fort, il magnétise. Yann Tambour, c’était avant la voix de Encre, mais Encre c'était particulier, peut être parce que le français ne sonnera jamais aussi bien que l'anglais dans certains registres et que Stranded horse maitrise son accent folk.
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JBM c'est Jesse Marchant, Montréal, Quebec. J'aime le nom de son album, "Stray Ashes", ça sonne. Il a la voix pleine d'influences, le genre de timbre avec toute la mélancolie du monde, et les pochettes viennent un peu confirmer que ses albums sont des albums d'hiver, ou pour les jours tristes de printemps quand rien ne repousse dans ton coeur, tu vois.
Il a la classe calme Jesse, et les arrangements hypnotiques.
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Relatif /
Quand j'ai découvert Stranded Horse, quelque chose dans sa musique m'a fait repenser à Birch Book / In Gowan Ring, j'avais découvert Birch Book en première partie de Woven Hand, c'était beau.
Il y a dans leur musique ce petit quelque chose de moyen-âgeux, de traditionnel indémodable. Ce son, c'est ma madeleine de Proust et j'en profite pour un petit florilège de groupes relatifs : Le Jon Renbourn Band, Joni mitchell, Roy Harper, et plus récemment Espers.
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Pour le folk du premier, venu d'un autre temps, limpide. J'aime le voir jouer, tu sens que le mec y met tout son cœur, surtout quand il arpège sur sa Kora, il est fort, il magnétise. Yann Tambour, c’était avant la voix de Encre, mais Encre c'était particulier, peut être parce que le français ne sonnera jamais aussi bien que l'anglais dans certains registres et que Stranded horse maitrise son accent folk.
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JBM c'est Jesse Marchant, Montréal, Quebec. J'aime le nom de son album, "Stray Ashes", ça sonne. Il a la voix pleine d'influences, le genre de timbre avec toute la mélancolie du monde, et les pochettes viennent un peu confirmer que ses albums sont des albums d'hiver, ou pour les jours tristes de printemps quand rien ne repousse dans ton coeur, tu vois.
Il a la classe calme Jesse, et les arrangements hypnotiques.
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Relatif /
Quand j'ai découvert Stranded Horse, quelque chose dans sa musique m'a fait repenser à Birch Book / In Gowan Ring, j'avais découvert Birch Book en première partie de Woven Hand, c'était beau.
Il y a dans leur musique ce petit quelque chose de moyen-âgeux, de traditionnel indémodable. Ce son, c'est ma madeleine de Proust et j'en profite pour un petit florilège de groupes relatifs : Le Jon Renbourn Band, Joni mitchell, Roy Harper, et plus récemment Espers.
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30 janv. 2013
railroad.
Le season final de Hell On Wheels saison 2 m'a décapé les mirettes, déja parce que les 10 épisodes ont enfin tenu leurs promesses, après Deadwood et Ian Mc Shane, le western est de nouveau sur les rails (clein d'oeil aux mauvais jeux de mots), mais surtout pour la qualité de la B.O. folklore /vs blues moderne, ce qui fait qu'on se pavane en dernier plan séquence avec l’intégralité de "Devil's Waiting", un de mes morceaux culte signé Black Rebel Motorcycle Club, période folk-blues.
Flashback adolescence. Peter Hayes est un roi qui se fait trop souvent voler la vedette en groupe, même si ce groupe, faute d'album convaincant ces dernières années, reste un des plus intègre de la vague rock US des années 2000.
BRMC sur scène garde l’essence pure du rock'n roll old school, et qui sait. . . le prochain sera peut être le bon. Mais en attendant, nostalgie :
Prochaine probable déflagration pour mars et ça, c'est digne du Soundtracks des Sons Of Anarchy, ha !
27 janv. 2013
# 2
La perte de l'essentiel, l'essence des choses, de moi de
toi, le carburant des sentiments humain, de l'émotion, la connexion.
La perte des sens.
Une direction tu l'as suis elle te perd, croisement après
croisement.
Dans le brouillard citadin, chercher la citadelle, trouver
minotaure.
Je tue, il me dévore.
J'ai oublié mes clefs, ils ont changé les serrures du
labyrinthe.
Au cœur de l'hiver, les sols sont gelés, il faut se laisser
tomber en bas de l'escalier.
Arrête de rêver, abandonne le soleil. Ici rien n'est gratuit
tu sais, même ton cœur se monnaye.
Il est l'or quand l'heure tourne et que chantent les chrysanthèmes
au pied des pierres tombales, ton cœur battra encore quand l'esprit
t'abandonne.
On ne se réveille jamais d'un cauchemar générationnel, on se
décale un peu mais bientôt c'est le vide. Il est noir, il est tard. Il ne digère
qu'au hasard et nous recrache à chaque fois, débrouille toi.
Je ne sais jamais où je dois décamper, j'hypocondriaque de
vouloir t'exprimer.
Le tempo transcende.
Je suis mélomane.
Je bois méthadone.
Je grésille un peu.
Nous court-circuitons. Les paires, les repères. Exécution sommaire
ordinaire.
Wovenhand - Maize
Album : The Laughing Stalk (2012)
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